Avant le grand départ pour la fabuleuse aventure mondialiste, nous avons rencontré l’un de nos deux joueurs retenus par le sélectionneur national, l’autre étant Ghaylène Chaalali, pour disputer la Coupe du monde 2018, Anice Badri qui nous a livré ses impressions:


Aujourd’hui, c’est le grand départ Anice, le jour « J » ?

Anice Badri : Oui, c’est vrai ! Pour nous la coupe du monde commence maintenant et j’espère que l’on disputera une bonne coupe du monde et que l’on représentera dignement notre pays.


Est-ce que vous pensez que l’équipe de Tunisie est prête aujourd’hui à affronter ce grand défi qu’est la coupe du monde ?

Je crois que nous sommes prêts. On a fait de très bons matches de préparation et l’équipe, dans son ensemble, est à point pour ce Mondial.


Vous ne ressentez pas d’appréhensions particulières dans la perspective de cette compétition ?

Non, pas vraiment ! Là, on va jouer l’Espagne contre laquelle j’espère que l’on va disputer un grand match pour ensuite affronter les autres grandes équipes sans appréhension aucune. On va jouer notre football tel qu’on sait le faire et on va essayer de gagner les matches.


Les quelques défaillances constatées lors des rencontres amicales ont-elles été rectifiées, corrigées ?

Oui, je pense ! Quelques erreurs ou défaillances qui se paient cash et qui peuvent nous coûter cher, et que l’on a essayé de corriger. Mais, on discute beaucoup entre nous, et on sait aussi que c’est sur le terrain lors des matches que l’on doit éviter ces erreurs, les gommer car on sait qu’en Russie, on n’a pas le droit à l’erreur.


Vous allez à ce Mondial avec quel objectif ?

Notre objectif consiste d’abord à franchir le premier tour puis d’aller le plus loin possible dans cette compétition. Cela nous tient beaucoup à cœur d’aller très loin dans ce Mondial et de donner la meilleure image possible de nous-mêmes, de notre football et de notre pays.


Bonne chance à Anice, à Ghaylène et à l’équipe de Tunisie dans cette passionnante aventure du Mondial.